Morel
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« Je ne pleure à peu près jamais en lisant des romans, mais là, j’ai pleuré plusieurs fois, parfois à cause du destin de cet homme, de ses proches, de ce qu’en tant que société on réserve à ces gens-là, encore aujourd’hui. Il y a des moments d’une beauté déchirante, des moments où je pleurais d’émotions esthétiques. »
Mélikah Abdelmoumen – Plus on est de fous, plus on lit (RC)
[Discussion]
« Maxime Raymond Bock s’est inspiré « très librement » de la vie de sa famille afin d’écrire un roman riche et complexe sur la vie ouvrière. Du nom du personnage principal, Morel raconte l’histoire d’un homme né dans le Faubourg à m’lasse qui a, avec d’autres, construit le Montréal d’aujourd’hui quoiqu’il s’en trouve dépossédé de l’enfance jusqu’à la fin de sa vie. [...] Maxime Raymond Bock confirme dans Morel sa signature unique, panaché d’érudition et d’humanisme. »
Mario Cloutier - La Presse +
[Entrevue]
« Morel, premier roman de Maxime Raymond Bock, fait s’entrechoquer la destinée d’un homme et celle de la ville qu’il a contribué à construire. En résulte une vaste fresque historique et sociale qui suit les méandres de la mémoire sous toutes ses formes. »
Benoit Valois-Nadeau – Les Libraires
[Entrevue]
« Fresque grouillante de vie, Morel est à la fois un roman familial, social, historique et politique, qui prend vie à travers les nombreuses banalités, les récits d’ordinaire qui forment l’existence d’un homme. »
Anne-Frédérique Hébert-Dolbec – Le Devoir
[Entrevue]
« Un formidable roman. »
Josée Boileau – Journal de Montréal
[Critique]
« Cette fresque d’une vie anonyme et de la transformation de la métropole constitue un roman historique d’exception grâce à sa forme non linéaire qui ne nous fait jamais perdre le fil, à sa prose à la fois riche et simple et à ses images qui nous ramènent dans un Montréal oublié. »
Manon Dumais – Le Devoir
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