Lune froide sur Babylon
Lune froide sur Babylon
McDowell, Michael  
Coisne, Gérard (Traduit par) 
Charrier, Hélène (Traduit par) 
Oyarbide, Pedro (Maquette de couverture de) 
Toussaint-Louverture (général)  
  • Éditeur : Alto
  • Collection : Hors-collection
  • EAN : 9782896946716
  • Code Dimedia : 000246222
  • Format : Broché
  • Thème(s) : LITTÉRATURE - FICTION & ESSAI
  • Sujet(s) : Littérature américaine, Polar / Roman noir
  • Pages : 464
  • Prix : 0
  • En librairie le 12 novembre 2024
  • Statut : À paraître
  • Code de recherche: LUNFRB
  • Groupe: Romans
  • Date de l'office: 6 novembre 2024
  • Langue d'origine: anglais
EAN: 9782896946716

« Il y a quelque chose de pourri à Babylon, un être capable du pire et impossible à arrêter. »

À l’aube des années 1980, Babylon est une ville de Floride comme les autres, avec son humidité et ses pom-pom girls, ses rumeurs et ses superstitions, sa chasse aux serpents et ses morts. Mais Babylon abrite aussi une rivière ancienne et sinueuse, le Styx, l’un des nombreux affluents de la Perdido. Un cours d’eau au passé trouble qui a déjà marqué la famille Larkin d’un sceau funeste qu’elle peine à oublier. Alors quand la jeune Margaret Larkin, quatorze ans à peine, disparaît soudain, c’est comme si la rivière se mettait à couler à l’envers, comme si la mémoire siphonnant les âmes des morts souhaitait marquer l’esprit des vivants. Et tandis que remonte à la surface ce qui n’aurait jamais dû s’y noyer, une étrange lune se lève au-dessus de la ville, immense et froide, dont la lumière pâle envahit tout et aveugle la victime comme le meurtrier. C’est alors que l’improbable, l’inimaginable et l’impossible deviennent non seulement possibles, mais inévitables.

Au-delà de la douleur et du chagrin, de la culpabilité et de la folie, Michael McDowell (1950-1999), créateur des mythiques Beetlejuice et Blackwater, nous offre avec Lune froide sur Babylon un roman sombre et violent, un thriller macabre où le mal que se font les vivants n’est rien à côté de ce que peuvent vous faire les morts.

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« Cette saga américaine, qui a connu le succès à sa publication en 1983, n’avait encore jamais été traduite en français. [...] Dans une ambiance gothique qui rappelle l’horreur à la Stephen King, on découvre la richissime famille Caskey. [...] Le style clair et précis de McDowell n’a pas pris une ride. »
– L'actualité, à propos de la série Blackwater

« Coup de cœur immédiat à la vue de ces couvertures superbes et embossées, un format qui tient dans toutes les poches et un contenu qui annonce une série à couper le souffle, dans la lignée des romans mystérieux, un brin angoissant avec ce personnage venu de nulle part qu’est Elinor Dammert. »
– Les Libraires, à propos de la série Blackwater

« Une œuvre en six volumes peut paraître monumentale, mais McDowell suscite si adroitement l›adhésion du lecteur que l′on poursuivrait volontiers la lecture pendant six autres tomes. »
– Nuit blanche, à propos de la série Blackwater

★★★★
« Il bouscule. Il chamboule. Il se lit d’une traite. »
– Le Devoir, à propos des Aiguilles d'or

« Le roman est, en ce sens, machiavélique : le terme ′′page-turner′′ ne suffit pas à décrire la vitesse à laquelle on a envie (besoin?) d’en tourner les pages. Sans en sauter aucune. »
– Le Devoir, à propos de Katie




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