Du côté du Szechuan
Du côté du Szechuan

Chagnon, Philippe  
  • Éditeur : Hamac
  • Collection : Hamac
  • EAN : 9782925311676
  • Code Dimedia : 000250300
  • Format : Livre numérique PDF
  • Thème(s) : LITTÉRATURE - FICTION & ESSAI
  • Sujet(s) : Littérature québécoise
  • Prix : 13,99 $
  • Paru le 24 septembre 2024
  • Statut : Disponible
  • Code de recherche: COTSZE
  • Groupe: Romans
  • Date de l'office: 18 septembre 2024
  • Code DEWEY:
  • Langue d'origine: français
  • Traducteur:
  • Moins d'informations...
EAN: 9782925311676

Aussi disponible en version numérique:

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Un récit intelligent empreint de légèreté et d’ironie, propre à l’univers de l’auteur

Inspiré par la désinformation quotidienne et l’ironie de l’époque actuelle, Du côté du Szechuan se veut un roman divertissant et drôle. Sans être une suite de L’essoreuse à salade, l’action se déroule directement après les événements de ce premier roman paru aux éditions Hamac. Le récit se terminait avec la disparition inexpliquée de Joanie, une artiste peintre contemporaine en vogue  ̶  et en peine d’amour.​

Du côté du Szechuan se divise en trois parties et propose différentes versions d’une seule et même situation, à savoir l’enlèvement de Joanie par un ou des malfrats. Nous la suivons donc avec curiosité à travers ces divers récits, tentant d’éclaircir par nous-même cette situation inusitée. Est-ce vraiment un enlèvement? Est-ce une arnaque ou une orchestration? Est-ce un complot artistique ou une stratégie commerciale et publicitaire? Quelle est donc la vérité?

AUTEUR(S)

Philippe Chagnon est né à Saint-Hyacinthe en 1986. Il étudie en musique et en philosophie avant de consacrer son temps libre à la création. Son premier recueil de poésie, Cœur Takeout, paraît en 2013 aux éditions de l'Écrou. Il vit, travaille et écrit à Montréal. Son écriture se partage entre la poésie et le roman. L’absurdité et le quotidien survolent son œuvre. Il a deux jeunes enfants.

Extrait

« Pour qu’elle puisse manger et boire librement, j’ai détaché ses liens. Le premier et le deuxième, ça allait, mais le troisième, oh! comme j’ai eu du mal à me défaire du troisième lien, comme s’il s’entêtait à vouloir rester dans les pattes (à sa cheville gauche). En comparaison, le dernier fut un charme à retirer. Je n’avais rien à dire. J’ai dit :​
— C’est important de bien s’alimenter, surtout lors d’une détention. »




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