Tout près
| Aussi disponible en version numérique: |
Avec un avant-propos de Nathalie Watteyne
On ne peut pas exiger de la vie qu’elle nous assure un calme perpétuel, mais on se blesse à cultiver le désir de plus de paix. En cherchant d’où l’on vient, on est parfois cette «femme assise dans sa petitesse de femme et qui cherche son visage». L’écriture «commence par une trahison». C’est à cet arrachement, à là où «la fatalité semble soudain traversée de fenêtres», à ce qui persiste dans les cendres que se dédie Louise Dupré dans Tout près.
NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.